D’autres types de thérapies

Thérapie hormonale

A priori il est utile de contrôler le taux d’hormones chez la femme dépressive et pourtant une thérapie hormonale est uniquement appliquable en cas d’une baisse ou d'une hausse des hormones. Par exemple en cas d’un maque de l’ostéogène ou de la progestérone, une surproduction de la prolactine ou encore une surproduction/insuffisance de la production de l’hormone de la thyroïde.

Il y avait quelques succès dans la thérapie hormonale mais il n’existe à ce jour peu de recherches et études dans ce domaine. Il est possible d’avoir plus de résultats sur ce sujet dans quelques années car l’industrie pharmaceutique s’investit à étudier d’avantage sur la dépression post-partum par exemple en investissant aux médicaments pour le syndrome prémenstruel ou de la ménopause.

Méthodes chronobiologiques

Se priver partiellement ou complètement du sommeil peut améliorer le moral (en souffrant d’une dépression) – mais cela doit se faire sous contrôle médical! A savoir que pas toutes les femmes réagissent ou répondent de la même manière et le résultat positif ne peut durer que quelques jours.

La thérapie par la lumière est utilisée de temps à autre. Il faut une lampe spéciale où la patiente se met devant pour quelques temps chaque jour. Le plus souvent elle est appliquée chez des gens souffrant d’une dépression saisonnière mais aussi chez la femme avec une dépression post-partum. On a même pu constater que quelques femmes montrent une amélioration de leurs symptômes.

D’autres formes de thérapie alternatives

Il est possible d’opter pour d’autres formes de thérapie alternatives en cas d’une légère dépression, par exemple la kinésiologie, l’homéopathie, l’acupuncture, le shiatsu, la thérapie cranio-sacrale, le reiki, l’ayurvéda, la thérapie de la respiration, la thérapie des fleurs de Bach et les thérapies avec vitamines/ minéraux ou oligo-éléments. Il est possible que ces formes de thérapie suffisent en cas d’une dépression légère à l’occurrence avec des dépressions moyennes ou sévères, nous conseillons vivement d’opter pour une psychothérapie et éventuellement des médicaments.